Comment arrêter la procrastination quand on est une femme ?

J’ai le plaisir de partager avec vous mon dernier podcast 🎙️ basé sur cet article très important : « Comment arrêter la procrastination quand on est une femme? » 🚀💪

Découvrons ensemble pourquoi la procrastination est un problème plus courant chez les femmes, et comment vous pouvoez y faire face. 💡👩

Pas de blabla, seulement des astuces concrètes et réalisables pour reprendre le contrôle de votre temps et de votre vie ! 🕒💃

Alors, mettez vos écouteurs 🎧, prenez une tasse de thé 🍵, et préparez-vous à dire adieu à la procrastination ! 👋💼

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Enfin, avant de lire cet article synthétique 🙂 : Comment arrêter la procrastination quand on est une femme ?

Bienvenue à nouveau sur Coach Anti Procrastination  🚀

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Table of Contents

Introduction

La procrastination, nous en avons tous. Mais saviez-vous que les femmes sont souvent plus sujettes par ce phénomène ?

Dans notre société qui exige de plus en plus d’efficacité et de productivité, la procrastination peut devenir un véritable frein à notre épanouissement personnel et professionnel. Aïe aïe !

Alors, comment faire pour arrêter la procrastination quand on est une femme ? 🤔

Dans cet article, nous allons décortiquer le sujet et te donner des clés concrètes pour rattraper ce fléau.

Prête à reprendre le contrôle de votre temps ?

Alors, plongeons dans le vif du sujet 🤙.

Comprendre la procrastination

Qu’est-ce que la procrastination et pourquoi est-ce un problème ?

procrastination quand on est une femme

La procrastination, c’est l’art de repousser à plus tard ce que vous pourriez faire maintenant.

Cela peut sembler anodin, mais en réalité, c’est un véritable problème 😕.

En effet, procrastiner vous empêche d’avancer dans vos projets, de réaliser vos rêves et vous fait perdre un temps précieux.

De plus, cela a engendré du stress et de la faute, ce qui n’est pas bon pour votre santé mentale.

Qui n’a jamais repoussé à plus tard un travail à rendre, sous prétexte de manquer de temps ou d’inspiration sur l’instant ?

Pourtant, reporter sans cesse une tâche finit par générer du stress et de l’anxiété.

Selon une étude menée par l’université de Calgary en 2018, environ 20% de la population est concernée par ce trouble. Et les femmes y sont plus sensibles que les hommes.

Alors, pourquoi procrastinons-nous ?

Tout d’abord, certaines tâches nous paraissent compliquées, ennuyeuses ou ingrates.

Nous avons tendance à les éviter le plus longtemps possible 🤷‍♀️.

Ensuite, internet et les réseaux sociaux nous distraient énormément. Il est tentant de naviguer sur le web plutôt que de se concentrer sur le travail.

Enfin, nous surestimons souvent le temps disponible.

Nous pensons avoir largement le temps de faire ce rapport ou cette présentation plus tard.

Pourtant, le temps file, la deadline approche, et nous nous retrouvons coincés.

La procrastination chronique a de lourdes conséquences : stress, fatigue, baisse d’estime de soi…

Elle peut même conduire à l’échec scolaire ou professionnel. Alors, que faire ?

Voici quelques premières suggestions :

En adoptant de bonnes habitudes, il est possible de reprendre le contrôle et d’en finir avec la procrastination 💪.

C’est ce que nous allons voir plus bas.

Pourquoi les femmes sont-elles particulièrement concernées par la procrastination ?

Les femmes sont souvent plus concernées par la procrastination pour plusieurs raisons :

  • D’une part, elles ont tendance à se mettre plus de pression pour être performantes dans tous les domaines de leur vie.
  • D’autre part, elles sont souvent plus sollicitées par les tâches domestiques et parentales, ce qui peut les amener à repousser leurs propres projets.

Selon une étude menée en 2018 par des chercheurs de l’université de Calgary, les femmes repoussent les tâches ingrates ou complexes plus souvent que les hommes.

Pourquoi ce phénomène ? Tout d’abord, notre société attend beaucoup des femmes, qui doivent gérer carrière, famille, tâches ménagères…

Cette charge mentale constante génère fatigue et stress. Difficile alors de trouver la motivation pour faire des tâches ingrates.

De plus, le perfectionnisme touche davantage les femmes 👀.

Elles veulent souvent faire les choses parfaitement, et reportent une tâche si elles ne s’en sentent pas capables.

A ce sujet, cliquez-ici pour découvrir l’article : Les bienfaits du perfectionnisme et ses pièges.

Enfin, les femmes sont plus anxieuses que les hommes en moyenne.

Cette anxiété accrue face à l’échec potentiel les pousse à éviter ou reporter certaines tâches.

Les conséquences de la procrastination sont lourdes pour les femmes : fatigue, baisse de productivité, culpabilité… À long terme, cela peut mener à la dépression ou au burn-out.

Alors, que faire ? Pour lutter contre ce phénomène, il est recommandé aux femmes de :

  • Réduire les sources de stress externes quand c’est possible
  • Pratiquer la méditation pour gérer l’anxiété
  • Se fixer des objectifs réalisables pas à pas
  • Demander de l’aide pour partager la charge mentale
  • S’accorder des pauses et se récompenser pour les tâches accomplies

Avec un peu d’organisation et de self-care, il est possible de reprendre le contrôle sur la procrastination et de retrouver motivation et sérénité !

Les conséquences de la procrastination pour les femmes

La procrastination a des répercussions néfastes dans tous les domaines de la vie d’une femme.

Au travail, reporter sans cesse les tâches ingrates peut vous faire passer pour quelqu’un de non fiable.

Vos dossiers arrivent en retard, vous devez souvent vous justifier…

Votre carrière peut en pâtir sur le long terme 😣.  (1).

Côté vie privée, repousser les corvées ménagères entraîne stress et fatigue.

Vous vous retrouvez à tout faire dans l’urgence le week-end, au lieu de vous reposer.

Votre foyer est en désordre, ce qui peut créer des tensions dans votre couple.

Et si vous avez des enfants, votre tendance à remettre les tâches en cause vous fait passer

pour une mauvaise mère. La culpabilité s’installe.  (2).

Sur le plan personnel, la procrastination chronique détruit l’estime de soi. Vous vous sentez débordée, peu efficace, vous vous blamez en permanence…

À terme, cela peut mener à l’anxiété, la dépression voire le burn-out. (3). Attention mesdames 😮 !

(1) Steel, P. (2011). The Procrastination Equation: How to Stop Putting Things Off and Start Getting Stuff Done. New York: HarperCollins.

(2) Ćurčić, N. & Towler, C. (2020). Gender Differences in Household Task Management Strategies of Employed Parents. Sex Roles, 82, 467–478.

(3) Flett, G.L., Stainton, M., Hewitt, P., Sherry, S. & Lay, C. (2012). Procrastination Automatic Thoughts as a Personality Construct: An Analysis of the Procrastinatory Cognitions Inventory. Journal of Rational-Emotive & Cognitive-Behavior Therapy, 30(4), 223-236.

Identifier les causes de la procrastination chez les femmes

procrastination quand on est une femme

Facteurs de stress et de charge mentale

Le stress et la charge mentale sont deux facteurs qui favorisent la procrastination.

En effet, lorsque vous êtes stressées ou que vous avez beaucoup de choses en tête, il est plus difficile de vous concentrer et de vous motiver pour accomplir vos tâches.

Au travail, vous pouvez subir des discriminations telles que le « plafond de verre », ce qui nuit à votre carrière et génère de l’anxiété (1).

À la maison, la majorité des tâches domestiques et familiales leur incombent encore, malgré leur activité professionnelle (2). Cette double journée épuise et laisse peu de temps pour se ressourcer.

De plus, les injonctions sociales à la perfection sont encore très présentes.

On attend d’une femme qu’elle soit une épouse, mère et travailleuse accomplie, toujours souriante et disponible pour les autres (3). Difficile dans ces conditions de gérer sereinement son quotidien !

Résultat, face à la masse de choses à faire, les femmes ont tendance à reporter les tâches ingrates, ce qui ne fait qu’accroître leur stress. Pour briser ce cercle vicieux, il est recommandé de :

  • Pratiquer la méditation pour gérer son anxiété 🧘 (4)
  • Répartir les tâches ménagères de façon équitable avec son conjoint
  • S’accorder des pauses détentes dans la journée
  • Se fixer des objectifs réalistes et les célébrer une fois atteints

Avec un peu d’aide et d’auto-compassion, il est possible de retrouver motivation et sérénité malgré un emploi du temps chargé.

(1) Guyon et Huillery, 2014
(2) Anxo et al., 2007
(3) Supino et al., 2019
(4) Rojiani et al., 2017

Le rôle des attentes sociétales et de l’auto-exigence

Les attentes sociétales et l’auto-exigence peuvent aussi jouer un rôle dans la procrastination.

En effet, si vous vous mettez trop de pression pour être parfaite dans tous les domaines, vous risquez de vous sentir dépassée et de repousser certaines tâches.

Les femmes sont souvent très exigeantes envers elles-mêmes.

Elles veulent réussir dans tous les domaines et être irréprochables.

Cette quête de perfection 🧝‍♀️  les pousse à remettre à plus tard une tâche si elles ne s’en sentent pas capables immédiatement (2).

Pourtant, vous n’avez pas à être parfaites ! Il est primordial de relativiser les attentes sociales et de vous montrer bienveillantes avec vous-mêmes. Pour cela, n’hésitez pas à :

  • Discutez des tâches ménagères avec votre conjoint pour rééquilibrer la charge mentale
  • Pratiquez la méditation pour gérer votre stress

Avec un peu d’organisation et d’acceptation, vous parviendrez à accomplir l’essentiel sans vous épuiser !

L’important est de faire de votre mieux tout en prenant soin de vous 🙌.

(1) Supino et al., 2019
(2) Pychyl et al., 2000

L’influence du cycle hormonal sur la motivation et l’énergie

Enfin, le cycle hormonal peut influencer ta motivation et ton énergie.

Par exemple, pendant la phase prémenstruelle, vous pouvez vous sentir plus fatiguée et moins motivée, ce qui peut vous pousser à procrastiner.

Ainsi les variations hormonales liées au cycle menstruel peuvent amplifier le phénomène de procrastination.

En effet, lors de la phase prémenstruelle, la baisse de progestérone entraîne fatigue, irritabilité et troubles de la concentration (1). Il est alors plus difficile de trouver la motivation pour accomplir des tâches complexes ou ingrates.

De même, pendant les règles, l’inconfort physique et les douleurs abdominales nuisent à la productivité.

Certaines femmes ressentent aussi des sautes d’humeur qui perturbent leur énergie (2).

Il est tentant dans ces conditions de repousser les choses à plus tard.

Pour limiter l’impact de vos hormones sur votre procrastination :

  • Ménagez-vous pendant votre phase prémenstruelle en allégeant votre emploi du temps
  • Pratiquez une activité physique régulière pour stimuler les endorphines et votre énergie
  • Utilisez un agenda pour répartir vos tâches en fonction de votre cycle
  • Récompensez-vous après chaque étape accomplie, sans exigence de perfection

En étant à l’écoute de votre corps et de vos besoins, il est possible de rester productive et motivée malgré les fluctuations hormonales.

L’essentiel est d’adapter votre rythme en conséquence pour ne pas vous épuiser. J’ai confiance en vous ✊ !

(1) Reed et Levin, 1991
(2) Romans et al., 2012

Stratégies pour arrêter de procrastiner

Techniques de gestion du temps adaptées aux rythmes féminins

procrastination quand on est une femme

Pour arrêter de procrastiner, il est important de trouver des techniques de gestion du temps qui vous conviennent.

Par exemple, vous pouvez essayer la méthode Pomodoro, qui consiste à travailler pendant 25 minutes puis à prendre une pause de 5 minutes.

Cette méthode est efficace pour maintenir ta concentration et éviter la fatigue.

Les femmes sont souvent tiraillées entre leurs différents rôles professionnel, familial et domestique.

Pour mieux gérer cette charge mentale, il est essentiel d’adopter des techniques de gestion du temps adaptées à leurs rythmes et besoins spécifiques.

Tout d’abord, tenir compte de son cycle menstruel permet de planifier les tâches en conséquence comme nous l’avons vu plus haut (1).

Répartissez les activités en fonction de vos pics d’énergie.

Ensuite, pratiquez la méthode des petits pas : définissez des objectifs réalisables et célébrez chaque petit accomplissement (2). Cela stimule la motivation.

Il est aussi recommandé d’apprendre à dire non aux sollicitations qui vous épuisent.

Accordez-vous des plages de temps rien que pour vous, pour vous ressourcer 👩‍⚕️ (3).

Enfin, n’hésitez pas à déléguer certaines tâches à votre entourage pour alléger la charge mentale.

Avec un peu d’organisation et de self-care, il est possible de concilier harmonieusement tous vos rôles. N’oubliez pas, l’essentiel est de vous ménager et de lâcher prise sur la perfection.

Ayez confiance en votre capacité à trouver un équilibre 😉 !

(1) Reed et Levin, 1991
(2) Steel, 2018
(3) Pedrelli et al., 2015ShareRetry

Comment gérer le stress et l’épuisement pour prévenir la procrastination

Le stress et la fatigue sont des facteurs clés de la procrastination au féminin.

Pour y remédier, il est essentiel d’apprendre à lâcher prise et à respecter ses limites.

Tout d’abord, accordez-vous des pauses détentes dans la journée pour faire retomber la pression : méditation, yoga, marche… La pratique régulière apporte sérénité et réduit l’anxiété (1).

Comme dit plus haut, n’hésitez pas à dire non aux sollicitations qui vous épuisent.

Cela vous permettra de vous recentrer sur vos priorités.

Accordez-vous aussi du temps rien que pour vous, loin des obligations (2).

Enfin, partagez vos responsabilités, que ce soit au travail ou à la maison.

Ne portez pas toute la charge mentale seule.

En rééquilibrant ainsi votre emploi du temps, vous préviendrez l’épuisement (3).

Surtout, lâchez prise sur la perfection : personne ne peut tout accomplir parfaitement.

Apprenez à vous satisfaire du travail « bien fait », plutôt que du « parfait ».

💁‍♀️ En adoptant la bienveillance envers vous-même, vous retrouverez énergie et motivation !

(1) Rojiani et al., 2017
(2) Pedrelli et al., 2015
(3) Ćurčić et Towler, 2020

L’importance de l’auto-compassion pour briser le cycle de la culpabilité et de la procrastination

Lorsque l’on a tendance à procrastiner, il est facile de se juger sévèrement et de se sentir coupable.

Pourtant, l’auto-critique est contre-productive : elle renforce le cercle vicieux de la procrastination (1). Mieux vaut adopter l’auto-compassion.

Concrètement, cela signifie cesser de se blâmer pour ses erreurs. Reconnaissez que l’imperfection fait partie de la condition humaine ; nous procrastinons toutes à certains moments (2). Portez sur vous-même un regard bienveillant et compréhensif.

Vous pouvez aussi apprendre à mieux écouter vos émotions au lieu de les ignorer.

Identifiez les peurs ou l’anxiété qui motivent votre procrastination. Apaisez-les avec de la méditation par exemple (3).

Enfin, félicitez-vous pour chaque petite tâche accomplie au lieu de vous focaliser sur les objectifs non atteints. Célébrez vos progrès graduels avec une récompense qui vous fait plaisir.

Avec de la patience et de la douceur envers vous-même, il est possible de surmonter vos tendances à remettre les choses à plus tard.

L’essentiel est de vous accepter avec vos limites, sans exigence de perfection.

(1) Sirois, 2014
(2) Neff, 2011
(3) Rojiani et al., 2017

Mettre en pratique et maintenir le cap

Comment mettre en œuvre ces stratégies au quotidien

procrastination quand on est une femme

Maintenant que vous connaissez les stratégies pour arrêter de procrastiner, il est temps de les mettre en pratique.

Commencez par choisir une ou deux stratégies qui vous paraissent faciles à mettre en place et essayez de les appliquer régulièrement 👍.

N’oubliez pas que le plus important est la régularité, pas la perfection.

Gérer les rechutes : quoi faire quand on retombe dans la procrastination

Il est normal de retomber dans la procrastination de temps en temps. Cela arrivera, ne vous découragez pas.

Au lieu de cela, essayez de comprendre ce qui a crée cette chute et comment tu peux l’éviter à l’avenir.

Prendre un cahier pour suivre ses progrès et rechutes peut-être très utile.

Faire du soutien et de la solidarité féminine un atout contre la procrastination

Enfin, n’oubliez pas que vous n’êtes pas seule dans cette lutte contre la procrastination.

N’hésitez pas à chercher du soutien auprès d’autres femmes, que ce soit dans votre entourage ou sur des forums en ligne.

Ou encore à venir à une soirée de coaching anti-procrastination 🙂.

Ensemble, vous êtes plus fortes !

Cycles hormonaux : un levier contre la procrastination quand on est une femme

Saviez-vous que le cycle menstruel influence directement votre motivation, votre concentration et votre énergie mentale ?

Comprendre ce rythme naturel permet de mieux s’organiser et de réduire la procrastination quand on est une femme. 

De plus en plus de recherches mettent en lumière l’influence des hormones sur la motivation, la concentration et l’efficacité.

Selon la psychologue Sarah E. Hill, auteure de This is your Brain on Birth Control, les fluctuations hormonales jouent un rôle direct sur nos capacités mentales.

Si l’on souhaite mieux gérer la procrastination quand on est une femme, il devient essentiel d’aligner ses tâches aux différentes phases de son cycle.

Par exemple, durant la phase folliculaire, juste après les règles, le taux d’œstrogènes remonte progressivement.

De ce phénomène découlent plusieurs résultats que sont : un boost d’énergie, plus d’entrain, et une meilleure capacité à se concentrer. Il s’agit alors du moment idéal pour entamer des projets exigeants, faire preuve de créativité ou régler les dossiers en attente.

Par ailleurs, pendant l’ovulation, l’augmentation de la testostérone et des œstrogènes booste la confiance en soi.

Il s’agit alors d’une période parfaite pour prendre la parole en public, négocier ou prendre des décisions stratégiques.

Ensuite, la phase lutéale, souvent marquée par une baisse de moral et d’énergie, est plus propice aux tâches calmes comme : 

  • la relecture ;
  • le rangement ;
  • la planification.

Enfin, durant les règles, le corps demande du repos. Ce moment peut être utilisé pour ralentir, faire le point, ou revoir ses objectifs sans pression.

Pour finir, il est important de rappeler que l’adaptation de son emploi du temps à ces rythmes naturels, permet de respecter son corps et de mieux lutter contre la procrastination quand on est une femme.

C’est une manière douce et stratégique d’avancer, en transformant ses cycles hormonaux en véritables alliés.

Déjouer les attentes sociales alimentant la procrastination quand on est une femme

Les attentes sociales alimentent souvent la procrastination quand on est une femme.

En effet, les normes culturelles et sociétales pèsent lourdement sur les femmes, influençant leur capacité à agir efficacement et à prioriser leurs projets.

Dès leur plus jeune âge, elles sont souvent socialisées à être attentives aux autres, à se montrer disponibles, bienveillantes, et parfois même à s’effacer pour le bien-être collectif.

À force de vouloir répondre à toutes ces injonctions, beaucoup finissent par s’oublier, repousser leurs objectifs ou se décourager avant même de commencer.

Ce phénomène n’est pas qu’une impression. Selon Timothy P. Pychyl, chercheur en psychologie à l’Université Carleton, les femmes ont une tendance plus marquée à l’auto-critique et à la comparaison sociale, ce qui accentue l’inaction face aux responsabilités personnelles et professionnelles.

Là encore, cela renforce la procrastination quand on est une femme. 

Pour y remédier, il est important de déconstruire ces attentes.

Cela passe par des objectifs réalistes, la capacité à dire non sans culpabilité, et la priorité donnée à ses propres besoins. 

Ce positionnement personnel aide à sortir du schéma d’épuisement et à retrouver le pouvoir d’agir, librement. 

Pour déjouer ces attentes sociales, il est essentiel de prendre conscience de ces influences et de développer des stratégies pour se détacher des pressions extérieures.

Par exemple, en définissant des objectifs personnels clairs, réalistes et en apprenant à dire non, les femmes peuvent mieux se libérer de cette charge mentale.

Enfin, pour en finir avec la procrastination, elles peuvent réduire les distractions, et se concentrer sur leurs propres priorités. 

Comment un environnement visuel peut réduire la procrastination quand on est une femme ?

Notre cerveau est très influencé par ce qu’il voit. Un espace encombré ou désordonné peut provoquer de la distraction, de l’apathie, voire de l’angoisse. Dans le cas de la procrastination quand on est une femme, cela peut renforcer le sentiment de surcharge mentale, déjà alimenté par des attentes sociales fortes à savoir : 

  • la famille ;
  • la performance ;
  • l’apparence.

Une optimisation de son environnement visuel devient alors une stratégie simple et puissante pour retrouver de l’élan. Concrètement, voici trois façons simples et efficaces d’utiliser votre environnement visuel pour contrer la procrastination quand on est une femme au quotidien.

Un espace clair contre la procrastination quand on est une femme

Des recherches menées par la neuroscientifique Sabine Kastner montrent que l’encombrement visuel surcharge le cortex préfrontal et réduit la capacité de concentration.

Pour les femmes déjà confrontées à une pression multitâche, cela aggrave la procrastination.

Ranger régulièrement son bureau, alléger les distractions visuelles ou créer des zones bien définies pour chaque activité, aide à mieux canaliser son énergie.

Des couleurs utiles face à la procrastination quand on est une femme

Les travaux du Professeur Andrew J. Elliot, spécialiste en psychologie de la motivation à l’Université de Rochester, et du Dr Markus A. Maier, professeur de psychologie expérimentale à l’Université Ludwig-Maximilians de Munich, publiés en 2014, ont mis en lumière les effets psychologiques des couleurs.

Leurs recherches indiquent que le bleu a un effet calmant et favorise la concentration, tandis que le rouge stimule l’énergie et l’action. 

L’introduction consciente de ces teintes dans son espace de travail peut donc améliorer la productivité.

Une to-do list visuelle, un calendrier bien en vue ou des post-it colorés deviennent ainsi des repères concrets et motivants pour contrer la procrastination quand on est une femme.

Aussi, l’insertion dans son environnement des objets qui ont du sens comme une citation inspirante, une photo de soi réussissant un défi ou encore un tableau de visualisation, crée des rappels positifs. 

Ces éléments servent d’ancrage quotidien pour rester connectée à ses objectifs. Dans la lutte contre la procrastination quand on est une femme, ces signaux visuels renforcent la motivation sans stress ni culpabilité.

Réapprendre à demander de l’aide sans culpabiliser face à la procrastination quand on est une femme ?

Dans de nombreuses cultures, les femmes sont souvent socialisées pour être autonomes, multitâches et disponibles pour les autres.

Cette pression sociale peut rendre difficile la demande d’aide, car elle est perçue comme un aveu de faiblesse ou d’incompétence.

Ce sentiment de culpabilité peut alimenter la procrastination, en renforçant l’isolement et la surcharge mentale.

Dans ce sens, une étude menée par le Dr Lucia Martinčeková, chercheuse en psychologie du développement à l’Université de North Carolina at Chapel Hill, et le Professeur Robert D. Enright, psychologue clinicien et professeur émérite à l’Université du Wisconsin-Madison, publiée en 2020 dans Current Psychology, a examiné les effets de l’auto-pardon et de la propension à la honte sur la procrastination.

Les chercheurs ont constaté que la propension à la honte était positivement corrélée à la procrastination, tandis que l’auto-pardon était associé à une réduction de celle-ci. 

Ces résultats suggèrent que la culpabilité et la honte peuvent entraver la capacité à demander de l’aide, exacerbant ainsi la procrastination quand on est une femme.

Par ailleurs, la professeure Fuschia Sirois, spécialiste en psychologie de la santé à l’Université de Durham, souligne que la procrastination est souvent une stratégie d’évitement émotionnel.

Elle affirme que la gestion des émotions est essentielle pour surmonter la procrastination, et le fait de reconnaître ses limites et solliciter du soutien, peut aider à réduire l’anxiété liée aux tâches à accomplir.

De ce fait, pour réapprendre à demander de l’aide sans culpabiliser, il est important de :

  • reconnaître que solliciter du soutien est un signe de force, non de faiblesse ;
  • partager ses difficultés avec des personnes de confiance, qu’il s’agisse de proches, de collègues ou de professionnels ;
  • rejoindre des groupes de soutien ou des communautés en ligne, où l’entraide est valorisée.

En adoptant ces approches, les femmes peuvent alléger leur charge mentale et atténuer la procrastination, retrouvant ainsi confiance et efficacité dans leurs actions quotidiennes.

Conclusion

👩‍🎤 En somme, il existe de nombreuses raisons pour lesquelles les femmes sont plus sujettes à la procrastination, et ce trouble a des conséquences néfastes dans tous les domaines de leur vie.

Mais rassurez-vous, il est possible de reprendre le contrôle !

En comprenant les causes profondes de votre procrastination et en mettant en place des stratégies adaptées, vous parviendrez petit à petit à accomplir vos tâches en temps voulu.

L’essentiel est d’être douce avec vous-même, de fixer des objectifs réalistes, et de célébrer chaque petit progrès.

🙆‍♀️  N’hésitez pas à partager votre charge mentale, à vous accorder des pauses détentes, et à pratiquer la pleine conscience pour apaiser votre stress.

Gardez en tête que personne n’est parfait. Vous avez le droit de faire des erreurs.

Ne vous blâmez pas, acceptez vos limites avec bienveillance.

👉 Et rappelez-vous que vous n’êtes pas seule dans ce combat contre la procrastination ! De nombreuses femmes rencontrent les mêmes difficultés.

Alors faites preuve de persévérance, ayez confiance en vous, et petit à petit vous parviendrez à accomplir vos tâches importantes en temps voulu. Vous reprendrez ainsi le contrôle de votre temps et de votre vie. Courage, vous en êtes capable !

Cet article a été co-écrit avec chatGPT4.

Et n’hésitez pas à contacter un coach spécialisé si vous avez besoin d’être guidée. Ensemble, nous vaincrons la procrastination. Vous avez toutes les ressources en vous pour y arriver !

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FAQ

Qu’est-ce que la procrastination ?

La procrastination consiste à reporter systématiquement au lendemain ce que l’on pourrait faire le jour même. C’est repousser une tâche que l’on devrait effectuer.

Pourquoi la procrastination est-elle problématique ?

Procrastiner régulièrement engendre du stress et de l’anxiété. Cela nous empêche d’avancer dans nos projets et peut mener à l’échec scolaire ou professionnel. La procrastination chronique détruit aussi l’estime de soi.

Qui est le plus touché par la procrastination ?

D’après une étude de 2018, les femmes sont plus sujettes à la procrastination que les hommes. Environ 20% de la population procrastine, mais ce chiffre est plus élevé chez les femmes.

Pourquoi les femmes procrastinent-elles davantage ?

Les femmes doivent gérer de nombreuses responsabilités professionnelles, familiales et ménagères. Cette charge mentale constante cause du stress et de la fatigue, ce qui pousse à reporter les tâches. Le perfectionnisme et l’anxiété touchent aussi plus les femmes, les amenant à éviter certaines tâches.

Quelles sont les conséquences de la procrastination ?

Au travail, la procrastination nuit à la réputation et peut compromettre la carrière. À la maison, elle engendre fatigue, désordre et tensions dans le couple. Sur le plan personnel, elle détruit l’estime de soi et peut mener à la dépression ou au burnout.

Comment arrêter de procrastiner ?

Il est recommandé de lister ses tâches par ordre de priorité, de se fixer des objectifs réalistes, de limiter les distractions, et de se récompenser après chaque étape accomplie. La méditation et l’auto-compassion aident aussi à lutter contre ce trouble.

Quelles sont les meilleures techniques anti-procrastination ?

La méthode Pomodoro, le fait de tenir compte de son cycle menstruel, la méthode des petits pas, savoir dire non aux sollicitations et se faire aider sont des techniques efficaces pour les femmes. Accorder du temps pour soi et lâcher prise sur la perfection sont aussi importants.

Comment éviter les rechutes dans la procrastination ?

l faut comprendre ce qui a provoqué la rechute et l’anticiper à l’avenir. Noter ses progrès et difficultés dans un cahier aide à identifier les points de vigilance. Ne pas se décourager et faire preuve de persévérance permettent de maintenir le cap.

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